La vie du balcon en images, des petits bouts de nous, du quotidien.

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Attention gros gros débat que celui de savoir quelle paire de chaussure choisir pour ton bébé en 2013. On ne parlera pas de mode ici parce que ça c’est chacun ses goûts. En revanche on va parler de chaussures à l’ancienne vs chaussures souples, ça mérite presque un google fight !

Au début c’est facile tu ne mets pas de chaussures. Chez nous on a opté pour les chaussons en cuir souple. Et puis vient le moment où ton bébé marche à 4 pattes et/ou se met debout. Là, ça devient critique. Parce qu’on te dit « il va falloir bien le chausser, hein ? Attention il faut que son pied soit bien tenu. Blablabla… » Oui tout ton entourage d’au moins la génération précédente te dira ça, souvent. Bon, sauf que toi tu es de la génération d’en dessous. Celle du retour de l’allaitement, du maternage, du peau à peau, de moins d’épisio, de l’accouchement physiologique, de la peau d’agneau, de l’emmaillotage, j’en passe. Donc tu as entendu parler de la chaussure souple. Non ? Alors il faut absolument que tu regardes cette vidéo.

OK les baskets ont l’air d’être en plomb mais bon y’a pas photo.

De mon côté je l’avais vu cette vidéo et une cousine m’avait parlé d’une marque en particulier. Une marque pas trop chère et de qualité Pediped. Mais un jour où nous avions confié le Baby, nous l’avons récupéré avec des chaussures bébé classiques aux pieds. On s’est pas formalisé car il avait l’air à l’aise. Ça ne m’a pas empêché de foncer sur le site Petits pas de géants pour lui acheter des chaussures souples de la marque Pediped Originals. Des chaussures premiers pas avec une semelle permettant la marche sur sol sec, donc plutôt à l’intérieur. La nounou du Baby disait que c’était des tatanes et que c’est pour ça qu’il ne marchait pas encore (retour au « il faut bien le chausser hein« …).

Quand il s’est enfin lancé (à 16 moins – 1 jour quand même) il avait donc les chaussures souples aux pieds. Mais elles devenaient justes et le Chéri est parti en mission chaussures accompagné de l’arrière Grand-mère du Baby. Nous nous sommes donc retrouvés avec une autre paire de chaussures classiques, rigides quoi. Et avec un Baby qui se remettait à privilégier le 4 pattes. J’ai recommandé des Pediped illico. Cette fois de la gamme grip’n go. Une gamme adaptée à l’extérieur et surtout pour les débuts de la marche autonome. Et là évidemment le Baby s’est remis à marcher et même à progresser. Tellement bien qu’il peut maintenant faire comme ses 2 grands copains de Nounou qui tournent autour de la table du salon (de la nounou donc) en se marrant.

Ci-dessus tu peux voir la différence entre les chaussures. Les Souples sont celles à scratch, les rigides à lacets. Alors ? Pour info j’ai choisi des souples versions baskets puisque les rigides étaient plus habillées. Il existe bien entendu des chaussures souples de tous styles.

Depuis que ce Baby marche nous l’avons vu se transformer. Il a énormément progressé ses 15 derniers jours. Que ce soit au niveau de la marche que de la parole ou même des jeux. C’est incroyable comme le fait de marcher lui a donné confiance en lui. Il n’aime rien tant que filer tout seul dans la cours de la résidence ou même dans la rue…

Toi alors team rigides ou team souples ? Et si, comme moi, tu as essayé les deux quel est ton verdict ?

Chaussures souples PEDIPED (Originals et Grip’n go) achetées sur Petits pas de géants je ne les ai pas trouvé en boutique. Prix moyen 40€ la paire. Les autres sont des Mod 8 et des Stones and Bones chez un chausseur pour enfants.  Prix autour de 70€ pour la Mod 8 et 90 pour l’autre. Pour les chaussons en cuire je prend la marque Inch Blue chez petits pas de géants aussi ce sont les moins cher que j’ai trouvé sur le site et ils sont bien.

Je t’explique. Lundi matin je me suis levée avec une chanson, enfin son air, dans la tête. Je ne m’en suis pas vraiment aperçue jusqu’à ce que le Chéri me dis « Mais pourquoi tu chantonnes ça ? » Et là j’ai pris conscience que je m’étais réveillée déjà pollué par ce son. Mais pourquoi j’ai cet air dans la tête ? Et surtout, pourquoi il y est toujours ? Et aussi (puisque je ne sais pas répondre à la question précédente), pourquoi serais-je seule à l’avoir ? Tu me vois venir ? Mouhahahaha* ! *rire diabolique.

Devine ce que tu vas écouter ? Allez écoute si tu l’oses ! (Je suis sympa je t’ai mis la version fun).

Et toi quel est l’air qui te trotte dans la tête ?

Retrouve aussi des jolies mélodies avec les Mardi musique de Mamour blogue,  Maman Louzoù et une nouvelle Les Blablas de Lili .

La vie du balcon en images, des petits bouts de nous, du quotidien.

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Quoi de mieux que de commencer un billet par un petit point sur mon nombril ? Sache donc que je suis une fille du livre. C’est un objet qui n’est jamais loin de moi. J’ai même failli en faire mon métier. J’ai suivi des études mixant les métiers du livre (libraire et éditeur)  puis je me suis concentrée la communication. Maintenant mon plus grand kiffe est d’avoir des missions permettant de m’attaquer au travail du papier…  Donc tu vois le livre ça me parle !

Grâce à ma copine Mamour blogue j’ai pu participer à une opération proposée par Price Minister pendant le Festival de la BD d’Angoulême. L’idée était que l’on choisisse une BD parmi la sélection proposée au jury du festival, qu’on la lise et qu’on en parle. Cette idée m’a plu et j’ai passé 3 plombes à me décider pour ma BD.

Je suis partie à la découverte d’Alan Ingram Cope persuadée que c’était un homme exceptionnel. Et là j’ai découvert que non, c’était un homme ordinaire. Mais un homme qui savait raconter les histoires et qui a su trouver un excellent auditeur/dessinateur (Emmanuel Guibert) à qui les raconter. Autant te dire tout de suite j’ai adoré !

L’histoire est simple, c’est le récit de l’enfance d’Alan Ingram Cope. Sa famille, les vacances, des anecdotes, les liens tissés entre les gens.
Plus qu’une BD, ce livre est un roman graphique. Le texte est vraiment au centre de la BD, le dessin le sert à merveille ! J’ai adoré l’écriture qui donne l’impression qu’Alan est juste là, à côté de toi, et qu’il raconte comme ça lui vient. C’est très apaisant. J’ai été émue par cette lecture. Comme l’impression d’assister à la genèse des souvenirs du narrateur.  Et aussi de l’impact de ces souvenirs d’enfance sur toute une vie. La fin de cette BD est vite là. J’aurais voulu que ça dure encore plus longtemps !

Comme je dois donner une note je dis facile un 17/20.

J’ai photographié le livre, une vignette qui me parle beaucoup car elle me ramène à mes propres souvenirs et une planche où Alan écoute sa grand-mère raconter un souvenir.

Il y a deux autres tomes La guerre d’Alan : D’après les souvenirs d’Alan Ingram Cope et L’Adolescence d’Alan également à L’Association.
L’Enfance d’Alan d’après les souvenirs d’Alan Ingram Cope, Emmanuel Guibert, L’Association, 19€.

PS : ça m’a plu d’écrire ce billet. Si toi aussi, dis le moi en commentaire et je posterai un « Point lecture » de temps en temps.